• BELL BIV DEVOE

    Bell Biv Devoe résulte de la collaboration entre Ricky Bell, ex membre du groupe New Edition, Michael Bivins et Ronnie DeVoe. Le chanteur Bobby Brown s'associe à ce projet new jack swing jusqu'en 1986. Deux ans plus tard, le trio sort son premier album Heart break produit par Hank et Keith Shocklee, producteurs entre autre de Public Enemy. C'est sur la tournée qui suit, que Bell Biv Devoe décide d'entamer une carrière à trois. Il signe l'album Poison en 1990. Les singles Poison, Do me! et She's dope! sont des tubes. L'album se vend à plus de trois millions d'exemplaires. Il est suivi d'un album de remixes l'année suivante. Michael Bivins découvre et produit de son côté Boyz II Men. En 1993, Bel Biv Devoe enregistre l'album Hootie mack qui n'a pas autant de succès que le précédent. En 1996, les trois membres du groupe participent à la réunion du groupe New Edition.

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    http://www.artnomad.com/bbd/


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  • MARCUS MILLER

    Marcus Miller and Group

    Marcus Miller est certainement le bassiste le plus admiré par ses pairs. Né à Brooklyn, compositeur, interprète et producteur, il a collaboré avec les plus grands et s'est fait une réputation de «Superman de la Soul».
    À l'âge de 10 ans, Marcus Miller commence à jouer de la clarinette, puis il se met au piano et à la basse. À 15 ans déjà, il se produit en professionnel. Les années suivantes, il travaille à New York pour d'autres musiciens comme David Sanborn, Aretha Franklin et Roberta Flack. Dès 1982, il joue régulièrement avec Miles Davis, une expérience qui l'aide à développer son propre style. Il démarre ses activités de producteur en 1983 avec David Sanborn sur « Backstreet », suivi d'albums pour Miles Davis, Luther Vandross, Al Jarreau et The Crusaders. Il vient de sortir son sixième opus studio « Silver Rain », un mélange de ses propres compositions et de reprises remaniées. Si vous voulez apprécier un bassiste qui joue avec maestria, ne manquez pas Marcus Miller !



    NOUVELLE ALBUM

    Power
    Lonnie's Lament
    Boomerang
    Nikki's groove
    Goodbye pork pie hat
    Ozell #1
    Burning down the house
    It's me again
    Cousin John
    Ozell #2
    3 Deuces


    Près de 6 ans après son dernier enregistrement en studio (son dernier album était un live, excellent du reste !), Marcus Miller confirme avec M2 quel magnifique technicien il est.

    Ce géant de la basse électrique nous convie à travers 15 titres (dont 1 est caché) à une impressionnante séance de tapping, slap et autres variantes dont il excelle.

    Bravo ! Cependant sa basse est dans l'ensemble trop souvent devant. Son omniprésence ne laisse guerre respirer la musicalité des différents morceaux de l'album. Ses prestigieux invités (Kenny Garrett, Huram Bullock, James Carter, Maceo Parker, Herbie Hancock, Wayne Shorter, Branford Marsalis ...) ont à peine le temps de s'exprimer.

    Les quelques reprises (Lonnie's lament, Goodbye pork pie hat, Burning down the house) ne rehaussent pas un répertoire lui-même en manque de compositions fortes.

    Le CD est toutefois accompagné d'un livret contenant une excellente interview du bassiste donnant l'envie d'apprécier l'enregistrement présent.

    Pour conclure M2 comblera indéniablement les fans et autres bassistes en quête d'un remarquable outil pédagogique !

    En savoir plus sur Marcus Miller.


    DISCOGRAPHIE

    Suddenly (Warner Brothers 1983)

    Marcus Miller (Warner Brothers 1984)


    The Sun Don't Lie (PRA 1993)


    Tales (PRA 1994)


    Live & More (GRP 1998)

    M2 ( GRP 2001)

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  • Mary J Blige

    Mary J Blige, c'est un peu la success story que le show-business américain adore. Ou comment passer d'un quartier pauvre de New York au hit-parade.



    Mary J. Blige est en tous points une success story comme le show-business américain les aime. Venant d'un quartier pauvre de la banlieue de NY, Mary quitte l'école, accro à la drogue, pour trouver des tas de petits jobs. Pourtant, pétrie de talent, elle n'est passionné que par la musique et le chant.

    Etrange histoire également, puisqu'en 1991, alors qu'elle a 21 ans, elle rencontre celui qui allait devenir Puff Daddy, aujourd'hui gigantissime producteur du rap et de la soul US, mais qui n'était à l'époque encore qu'un petit stagiaire pour une maison de disques.

    Depuis, plusieurs albums plus tard, Mary J. Blige est devenue une star internationale, une référence du hip-hop et du R'n B, et a collaboré avec tous les plus grands noms de la musique : Aretha Franklin, Elton John ou Eric Clapton (excusez du peu !).

    Il y a quelques étés, elle a même repris avec George Michael le 'As' de Stevie Wonder pour en faire un des tubes de l'été, véritable bombe au niveau des charts mondiaux.

    A croire que tout ce que touche Mary se transforme en lingots d'or pour les maisons de disques et en moments de bonheur pour ses fans. Son dernier album est également énorme et son premier extrait (Family Affair, réalisé avec Dr. Dre) truste depuis quelques semaines déjà les premières places du Top en Europe..


    Au fil des années et des expériences de la vie, Mary J. Blige ne s'est pas seulement imposée comme l'une des meilleures interprètes R&B de sa génération, mais aussi comme la voix de nos émotions les plus intimes et les plus profondes.

    Dans ce nouvel album, comme dans les précédents, Mary explore le fond de son âme en essayant de trouver les mots justes pour exprimer ses sentiments. "J'ai appris quelque chose," dit-elle avec un mélange d'étonnement et de satisfaction. "J'ai appris qu'il ne faut pas hésiter à revendiquer tout ce dont nous avons envie... Alors voilà, je revendique la paix, la prospérité, la confiance et la patience et bien entendu l'amour."

    L'amour, l'amour de soi, des siens, de ses amis, l'amour de la musique qui transparaît de façon évidente dans ce cinquième album studio de Mary J Blige intitulé No More Drama. Mary a composé et produit cet album en collaboration avec Jimmy Jam et Terry Lewis, Missy Elliot, Chucky Thompson, Swizzbeats, Rockwilder, The Neptunes, Dr. Dre, Ron Lawrence, Kenny Flav, tandis qu'Eve, Grease, Hakeem et Missy ont prêté leurs voix sur quelques titres. A l'instar de Mary, son précédent opus sorti en 1999, certifié platine et nominé aux Grammy Awards, No More Drama est une véritable déclaration d'intention. Cet album qui évoque des tranches de vie est truffé de morceaux à la fois personnels et universels. "Cet album s'inscrit dans la continuité du précédent," déclare Mary en faisant allusion aux changements qu'elle a connus entre les deux. "Mary était une sorte de remise en ordre, j'avais besoin d'évacuer pas mal de choses de choses autour de moi. Cet album confirme et poursuit cette démarche."

    Dans le titre qui a donné son nom à l'album, écrit et produit par Jimmy Jam et Terry Lewis, ses fidèles collaborateurs depuis Share My World en 1993, Mary se montre plus déterminée que jamais. La chanson démarre sur le thème instrumental du soap opera 'The Young and The Restless', tandis que progressivement l'émotion monte alors que Mary chante : "Plus de souffrance, plus de drame dans ma vie". "No More Drama" est une chanson intense, empreinte de féminité et d'une grande sagesse qui a beaucoup touché Mary. "Jimmy et Terry l'avaient écrite tous les deux ensemble, sans moi. Dès que je l'ai entendue, je leur ai demandé : 'Vous m'avez fait suivre par un détective privé ou quoi ? Parce que cette chanson est tellement en phase avec mon état d'esprit actuel, je souhaite effectivement chasser de mon existence tous ceux qui pourraient me faire souffrir."

    L'album recèle également quelques titres up-tempos réalisés en collaboration avec la fine fleur du hip hop, notamment Dr Dre (à l'origine de l'irrésistible premier single "Family Affair"), les Neptunes, Rockwilder (avec l'obsédant "Keep It Moving") et Swizz Beats qui attaque fort avec "Where I Have Been", une leçon de vie qui ne fait pas dans la dentelle. Dans ce titre d'une rare authenticité et sincérité, sur lequel Eve a été invitée à rapper, Mary raconte l'histoire d'une rédemption pleine d'espoir. "Je veux que mes fans sachent que malgré les difficultés de l'existence, Mary allait être heureuse."

    "Never Been" est une autre chanson qui semble directement inspirée de la vie de Mary. Ce titre composé et produit par son excellente amie Missy Elliot l'a touchée en plein coeur et tout en parlant à sa foi. "Quand j'ai entendu 'Never Been', j'étais encore seule mais je savais que j'allais rencontrer l'amour, mais pas nécessairement celui d'un homme... Celui de l'Homme... Dieu m'a appris à m'aimer suffisamment moi-même pour être capable de recevoir davantage d'amour."

    C'est encore l'amour, mais plus romantique cette fois, qui a inspiré "Flying Away", une chanson co-écrite par Mary et son jeune frère Bruce. On découvre dans ce titre une femme amoureuse prête à aider son compagnon : "Voilà ta seule chance, je suis ton rayon de soleil par un jour de pluie, l'amour vient à toi." Et d'expliquer : "'Flying Away' évoque une aventure dans tous les sens du terme : quelqu'un me fait du bien et je lui fais du bien et... Voilà où nous en sommes."

    Avec "Dance With Me" Mary fait un retour en force sur les dancefloors. Mary : "J'avais simplement envie de faire un titre qui donne envie de danser, une chanson pour oublier les soucis et profiter du moment présent. Beaucoup de gens ignorent à quel point j'aime sortir et faire la fête, même si ce n'est plus comme avant," déclare-t-elle en riant et en faisant allusion à ses jeunes années plus tourmentées. "Mais j'aime toujours autant danser."

    Mary est une femme heureuse, mais aussi sensible au bonheur des autres. C'est pourquoi elle s'investit dans des projets caritatifs parallèlement à sa carrière dans la musique. Elle a participé à des campagnes gouvernementales contre la drogue, a collaboré avec plusieurs groupes éducatifs et a contribué à soulever des fonds pour aider des personnes victimes du SIDA. Cette année Mary a d'ailleurs reçu le "Rolling Stone Do Something Award" en récompense de son investissement dans des oeuvres humanitaires, elle a également reçu une autre récompense des 100 Black Men. Mary est toujours l'emblème du rouge-à-lèvres 'Viva Glam III' de Mac, dont tous les bénéfices sont destinés à la recherche et à la prévention contre le SIDA. Mary a également fait une apparition aux Nations Unies lors de la journée mondiale du SIDA dans le cadre de son action pour l'association 'People With Aids'.

    Parallèlement à toutes ces activités, Mary se lance également dans une carrière de comédienne. Elle a commencé par une apparition dans la série 'Strong Medecine'. "Ça m'a beaucoup amusé de faire ça," confie-t-elle avant d'ajouter en souriant qu'elle en a également profité pour interpréter le titre "PMS" extrait de No More Drama et produit par Chucky Thompson. Mary s'apprête également à lancer son propre label et signe actuellement des artistes.

    Qui eut cru en 1992, année de la sortie de son premier album, What's the 411, qui a remporté un franc succès, que cette jeune fille des cités de Yonkers deviendrait en moins de dix ans une artiste aussi complète et une icône de la scène R&B contemporaine ? Qui eut imaginé qu'elle sortirait quatre albums studio, un live, qu'elle grimperait au sommet des charts et qu'elle remporterait une myriade de récompenses touchant un public de plus en plus large dans le monde entier. Ses chansons sincères et touchantes, que l'on peut entendre à la télé, la radio, en boîte, dans la rue ou chez soi, sont devenues de véritables classiques de la soul moderne faisant de Mary J. la reine incontestée de la scène hip hop soul (« The Queen Of Hip-Hop Soul »). Mary a en effet prouvé tout au long de sa carrière, du brillant My Life, au puissant Share My World, jusqu'au superbe Mary et au magnifique No More Drama, qu'elle était plus que digne de porter ce titre.

    Quand on lui demande ce qu'elle souhaite communiquer au travers de ce dernier album, Mary hésite un instant avant de répondre : "Je voudrais bien entendu que les gens s'amusent sur ce disque, mais aussi qu'ils prennent le temps d'écouter ce que je dis. Même s'ils ne sont pas d'emblée touchés par les paroles, qu'ils dansent. Jusqu'au jour où ils seront plus réceptifs, où ils seront prêts à écouter les textes de mes chansons... "
    DISCOGRAPHIE

    What's The 411? (Uptown 1992)

    What's The 411? - Remix Album (Uptown 1993)

    My Life (Uptown 1994)

    Share My World (MCA 1997)

    Mary (MCA 1999)

    No More Drama (MCA 2001)

    Love And Life (Universal 2003)

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    http://www.mjblige.com/


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  • GEORGE BENSON

    Guitariste légendaire de jazz, George Benson assume aussi son penchant pour le R&B, le rock, la pop et intègre des rythmes funk et soul à sa musique. Raison pour laquelle il est aussi bien le chanteur R&B de «Give Me The Night» et «Turn Your Love Around», que le remarquable jazzman qui, dès les années 60, a sorti des albums considérés désormais comme des classiques.
    Fort de huit Grammy Awards, George Benson reste un artiste imprévisible et éclectique. En 2000, il continue à créer la surprise en livrant «Absolute Benson» où la musique instrumentale et le métissage de styles sont à l'honneur. Cet opus sera suivi par «All Blues», un hommage à Gershwin, Tucker, Porter ou encore Miles Davis. En 2004, place à «Irreplaceable», un opus où le maestro s'est entouré de la fine fleur en matière de compositeur et producteur à savoir, Joshua Thompson (producteur de O-Town, Aretha Franklin et Babyface) ainsi que Joe (chanteur et producteur émérite). Le charme et le talent légendaires de George Benson devraient opérer une nouvelle fois sur la scène de l'Auditorium.


    DISCOGRAPHIE

    with the Brother Jack McDuff Quartet: The New Boss Guitar Of George Benson (Prestige 1964)

    It's Uptown (Columbia 1966)

    Most Exciting (Columbia 1966)

    Benson Burner (Columbia 1966)

    The George Benson Cook Book (Columbia 1967)

    Giblet Gravy (Verve 1968)

    Goodies (Verve 1969)

    Shape Of Things To Come (A&M 1969)

    Tell It Like It Is (A&M 1969)

    The Other Side Of Abbey Road (A&M 1970)

    Beyond The Blue Horizon (CTI 1970)

    White Rabbit (CTI 1973)

    Body Talk (CTI 1974)

    Bad Benson (CTI 1974)

    Supership (CTI 1975)

    Breezin' (Warners 1976)

    Good King Bad (CTI 1976)

    with Joe Farrell: Benson And Farrell (CTI 1976)

    George Benson In Concert: Carnegie Hall (CT1 1977)

    In Flight (Warners 1977)

    with Jack McDuff: George Benson And Jack McDuff (Prestige 1977)

    Weekend In LA (Warners 1978)

    Living Inside Your Love (Warners 1979)

    Give Me The Night (Warners 1980)

    Blue Benson (Polydor 1983)

    In Your Eyes (Warners 1983)

    Stormy Weather (Columbia 1984)

    20/20 (Warners 1985)

    The Electrifying George Benson (Affinity 1985)

    In Concert (Premier 1985)

    Love Walked In (Platinum 1985)

    While The City Sleeps (Warners 1986)

    with Earl Klugh: Collaboration (Warners 1987)

    Love For Sale (Masters 1988)

    Twice The Love (Warners 1988)

    Detroit's George Benson (Parkwood 1988)

    Tenderly (Warners 1989)

    with the Count Basie Orchestra: Big Boss Band (Warners 1990)

    Lil' Darlin' (Thunderbolt 1990)

    Live At The Casa Caribe Vols 1-3 (Jazz View 1992)

    Love Remembers (Warners 1993)

    That's Right (MCA 1996)

    Absolute Benson (GRP 2000)

    Irreplaceable (GRP 2004)


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    http://www.georgebenson.com/main.html


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  • Philip Bailey


    Philip Bailey est né le 8 mai 1951 à Denver. Il commence très jeune le chant mais son domaine de prédilection devient la percussion. Adolescent, il intégre la formation jazz de son université, où il apprend le marimba et le timpani. C'est en écumant les bars avec son groupe qu'il rencontre Earth Wind and Fire. Il les rejoint en 1972, à la demande de Maurice White, le fondateur du groupe. La carrière du groupe est énorme : six victoires aux Grammy Awards, 46 singles classés dans les charts, quatre Américan Music Awards et plus de 50 disques d'or et de platine. En 82 parallèlement à son travail avec le groupe, il entame une carrière solo en signant chez Columbia son premier album Continuation. En 84, il sort Chinese Wall co-produit par Phil Collins où l'on retrouve le tube internationnal Easy Lover qui lui donnera son premier disque d'or en solo. L'album suivant est Inside Out (1986). Bailey se fait aussi un nom dans le gospel avec les opus The Wonder of His Love, Triumph, Family Affair ainsi qu'un best of en 91. Il collabore avec PM Dawn, et Arrested Development en 1994 pour l'album Philip Bailey. Sa dernière production solo est Life and Love qui date de 1998.



    ALBUMS


    Continuation (Columbia 1983)

    The Chinese Wall (Columbia 1984)

    The Wonders Of His Love (Myrrh 1984)

    Inside Out (Columbia 1986)

    Triumph (Myrrh 1986)

    Family Affair (Myrrh 1989)

    Philip Bailey (Zoo Entertainment 1995)

    Life & Love (Eagle Records 1998)

    Dreams (Heads Up 1999)

    Soul On Jazz (Heads Up 2002)



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    http://www.philipbailey.com/home.html


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